« Fuck children's games •• Zoloo »

Date d'arrivée : 22/05/2010

Je marchais, la tête baissée en rêvant à la vie que j’aurais pu avoir à ce moment, j’aurais 71 ans, je serais en train de jouer au tarot avec mes amies tricoteuses ou alors, je serais en train de regarder mes petits-enfants courir dans le jardin ou jouer à la balançoire, mais non, à la place, j’étais dans une forêt maudite, coincée à l’âge de 18ans, du moins, physiquement, le bon côté, c’est que je restais belle et jeune mais le mauvais, c’est qu’on voulait me tuer, ce coin n’avait rien du paradis, c’était plutôt l’enfer, je n’attendais qu’une chose, sortir, malheureusement, il me semblait que cette option ne soit pas disponible. Je m’arrêtais pour pleurer, pleurer toutes les larmes de mon corps. Je m’écroulais, à bout de souffle et je pleurais, je reniflais et on aurait pût m’entendre à des kilomètres, je criais et je priais dieu qu’il me sorte de ce cauchemars, je me baffais, je me pinçais espérant que ce ne soit qu’un cauchemar, mais je ne me réveillais pas. Chaque secondes, je me retournais pour voir si personne ne me regardais ou si quelqu’un se léchait les babines à ma vue, chaque pas que je faisais, je prenais un risque de me faire tuer, pendant, j’avais survécus, pendant 53ans, je me trouvais ici à errer, à survivre, à échapper aux pièges des monstres, à me cacher d’eux, depuis 53ans, je passais mes journées à pleurer, je sentais le fauve, ce n’était pas une vie et je commençais à perdre pieds, je devenais folle.

Je me relevais une fois que mes larmes étaient sorties, je n‘avais plus rien à pleurer tellement j’étais épuisée, j‘entendais des bruits de pas, quelqu’un approchait, je me relevais vite et je regardais au tour de moi, prise de panique, mon cœur battait à deux cents à l’heure et mes poings se serrèrent, je n‘avais pas assez de force pour me défendre contre un monstre, surtout que je n‘avais jamais encore eu à faire à eux. Il n’y avait qu’une solution, solution que j’appliquais depuis que j’étais arrivée dans cet endroit maudit, me cacher, je sautais dans les buissons, je ne voulais pas trop m’éloigner, je pourrais faire du bruit et justement, attirer les monstres, j’osais un regard, un monstre marchait effectivement, je me cachais derrière un tronc de bois épais et je retenais mon souffle, si je faisais un bruit, j’étais morte.

woop · Date d'arrivée : 13/05/2010

J’ère et j’ère encore, comme toujours depuis le début de mon adolescence dans ces bois pour trouver la proie de mes rêves et lui briser le cou tendrement. Le sourire aux lèvres, il sentit une âme désespérée, une vieille âme torturée se faire sentir dans les bois. Il courut plus rapidement et en arrivant à la place ou il avait sentit cette vieille âme torturée, il n’y avait plus personne. « Allez, montre toi, où te caches-tu, petite humaine, viens voir papa. » Zoloo, l’une des pire créatures mystérieuses de ce monde, toujours un cou bien tendu au creux de la main. Il cherchait, mais elle avait sûrement pris la fuite où elle s’était cachée, mais où, il ne voulait pas perdre son temps à chercher, il aimait mieux trouver immédiatement, il n’avait pas une très grande patience ce jeune homme. Zoloo regarda une dernière et fois et sauta très haut utilisant sa force pour se rendre en haut de l’arbre.

Zoloo regarda un instant accroché sur une branche, l’étendu de la forêt. Il regarda de haut en bas et le ciel et décida de prendre un peu de bon temps et s’adossa le dos contre l’arbre. Zoloo regarda le ciel et prit enfin un peu de tranquillité, depuis que ces humains étaient débarqués, il n’avait qu’une seule envie, c’était celle de leur enlever la vie e qu’ils lui fichent la paix. Mais il savait très bien que plusieurs d’entres-eux avaient survécu et qu’ils se cachaient, il voulait enfin la paix pour une fois dans sa vie. Si la proie se montrait, il serait à la bonne place pour lui tomber dessus, de toute façon, donc il respira l’air frais et profita de la vue. La vue était noir et sombre, mais lui, il y voyait clair et il trouvait cette ambiance relaxante et parfaite.

Date d'arrivée : 22/05/2010

Je n‘avais pas rêvé, il y avait bien une créature tout près de moi, si il me sentait bouger, si je faisais le moindre bruit, j’étais cuite, j’étais morte et enterrée, ces plusieurs d’années de survie n‘auront servies à rien. La créature se mit à parler, sa voix me faisait frissonner rien qu’a l’entendre, j’avais envie de prendre la fuite, mais je ne pouvais pas, si je la prenais la fuite, il n’aurait aucun mal à me rattraper vu ma fatigue et je serais morte, je restais silencieuse, retenant mou souffle, il sauta en haut d’un arbre pour avoir une meilleure vue, je n’étais pas loin de lui, à deux arbres près, je me blottis sans bruits de manière à ce qu’il ne me voit pas, je n’osais pas parler de peur qu’il repère d’où venait ma voix, il fallait que je m’éloigne, je mis ma main sur ma bouche pour que les bruits de respirations soit maqués. Je m’accroupis puis j’allais à reculons, doucement, sans faire de gestes brusques, tout en fixant la créature qui se reposait contre l’arbre.

Toujours à reculons, je fis craquer une branche, mince, c’était bien ma vaine aujourd’hui, si il avait entendu, il repérerait ‘endroit où j’étais, je ne mis même pas deux secondes pour réagir, je me tournais et me blottis entre les feuillages de buissons en faisant gaffe à ne pas trop faire du bruit, je retenais toujours mon souffle, j’étais dans une position très inconfortable mais je ne bougeais pas j’étais paralysée, paralysée par la peur.

woop · Date d'arrivée : 13/05/2010

Lorsqu’il était entrain de regarder le ciel et d’enfin relaxer il entendu un petit bruit de craquement de branche, lorsqu’on habite dans un bois sans animaux et bien il ne peut qui avoir que du vent ou des personnes. Il sauta alors de sa branche atterrissant sur ses pieds et regarda au contour de lui où il y avait eu le craquement et regarda les buissons en se disant que ça n’en valait pas la peine et que ce serait encore une autre attardé qui est cachée dans ce monde depuis tellement longtemps qu’elle aurait perdu toute sa tête, il n’avait pas envie de tuer une petite bête fragile, mais il avait plutôt envie de jouer au chat et à la souris, donc il continua son chemin. Le jeune homme qu’était Zoloo était fatigué d’avoir toujours le même scénario pour ses tueries, alors ça allait changer la prochaine fois.

Date d'arrivée : 22/05/2010

Il avait lâché l’affaire apparemment, j’attendis de ne plus entendre de bruit du tout, étant quasiment sure qu’il était partit, je levais progressivement, lentement mais sûrement ma tête hors des buissons, je regardais de droite à gauche, ma vue était limitée mais apparemment, il était partit, je priais dieu pour qu’il soit bel et bien parti et qu’il ne se cache pas pour me tuer par surprise, je me relevais tout doucement, prenant mes précautions, une fois sur mes deux jambes, je regardais de droite à gauche et fis deux pas lentement sans faire un bruit, je mordais le poing pour masquer ma respiration quand même ; on ne sait jamais. Je fis quelque pas de plus pour me cacher derrière un tronc d’arbre assez épais pour me cacher, je me penchais légèrement et vérifiais la zone, je en voyais personne, peut être avais-je mal regardé mais bon, je sortais de derrière ma cachette et posa ma main sur mon front et l’autre sur une hanche et soupirais de soulagement.

« J’ai eu chaud … je fis quelque pas en avant pour vérifier quand même qu’il n’y avait bel et bien personne, personne. Très chaud »